POP Schtroumpfette (Les Schtroumpfs)

La Schtroumpfette est le premier personnage féminin de la bande dessinée créée par Peyo. Son personnage n’apparaît que dans l’album éponyme de la bande dessinée car la Schtroumpfette, à la différence des autres Schtroumpfs, a été créée de toute pièce par le sorcier Gargamel.

En effet, Gargamel était à la recherche d’un stratagème pour semer le chaos dans le village des Schtroumpfs et saisir cette opportunité pour les capturer… Il a donc imaginé un Schtroumpf « féminin » qui séduirait les Schtroumpfs et sèmerait la discorde entre les petits êtres bleus.

Si le plan de Gargamel a failli fonctionner, les Schtroumpfs faisant tout pour plaire à la Schtroumpfette : repeindre le barrage en rose, organiser des fêtes pour elle, etc., la Schtroumpfette franchit la ligne jaune lorsque par sa faute le village des Schtroumpfs est inondé… Comprenant que cette dernière est en réalité un piège tendu par Gargamel, le Grand Schtroumpf ordonne l’arrestation et le jugement de la Schtroumpfette.

Celle-ci finira par s’intégrer et adoptera même le langage des Schtroumpfs. Ces derniers, qui n’avait jamais rencontre de Schtroumpfs du sexe opposé, ont également appris à vivre harmonieusement avec la Schtroumpfette et la communauté a retrouvé son équilibre.

Cette POP de la Schtroumpfette reprend parfaitement le physique du personnage : un personnage à la peau bleue, haut comme trois pommes et vêtue d’une tenue blanche. A la différence des autres Schtroumpfs, la Schtroumpfette porte en plus de son bonnet blanc une jolie robe et des petits souliers à talons appuyant le côté féminin du personnage.

Funko n’a pas omis le détail le plus important du physique de la Schtroumpfette sur cette figurine POP en représentant la longue chevelure blonde du personnage. Enfin, elle se tient dans une posture très féminisée avec sa main gauche paume ouverte vers le sol et sa main droite appuyée sur son visage. Un bel hommage de la part de Funko qui rappelle que Peyo a imaginé le petit personnage en s’inspirant de l’icône de la féminité à l’époque : Brigitte Bardot.